La création Monétaire est une taxe sur tous les flux financiers

Il faut être un élève de 6ème moyen pour pouvoir démontrer à la main l’évidente égalité (à 0,002 près) :

Autrement dit « taxer les flux financiers à 4,76% » REVIENT EXACTEMENT à créer 5% de monnaie en terme de pouvoir d’achat global.

Ensuite on remarque :

1) Les Banques ont le droit de créer de la monnaie par effet de levier, prélevant ainsi une taxe sur l’ensemble de l’économie.

2) L’Etat n’a pas redistribué 5% / an censés être la base de la redistribution de richesse de 1980 à 2010 où la masse monétaire totale a suivi cette augmentation moyenne annuelle. (8% / an de 2000 à 2010)…

Problème (niveau troisième / connaissances grammaticales et logiques) :

Où est passée cette taxation sur la totalité de l’économie, qui a conduit évidemment à la montée des prix alors que sans cette création monétaire répartie entre les citoyens, les revenus individuels Salaires + Redistributions sociales ont stagné ?

La réponse se trouve via la remarque évidente : « Créer de la monnaie équivaut à taxer toute l’économie, tous les flux financiers, sans coûts associés, et sans évasion « fiscale » possible »… Le corollaire étant que « la création de monnaie incontrôlée équivaut à une taxation insupportable. »

Il s’agit simplement de trouver « QUI ? » dans l’énoncé, ou autrement dit de connaître la grammaire pour trouver les sujets.

Ensuite pour trouver le dindon de la farce dans un système monétaire, il suffit de voir où est la farce, le dindon ne sera pas loin (niveau Homme, juste après le niveau Chimpanzé).

Corollaire : Il est donc d’une évidente limpidité que le Dividende Universel revient à redistribuer équitablement à l’ensemble des Citoyens une part faible et contrôlable de la richesse globale créée, sans besoin de créer aucune taxe, donc sans coût associé, sans aucune contrainte, sans évasion fiscale possible, sans « chasse aux riches », et autres fausses solutions.

L’absence de DU est à prendre pour ce qu’elle est : la volonté d’éviter toute co-propriété véritable de la société tout entière entre des hommes considérés comme non-égaux en droit, la volonté de contrôler le destin d’autrui via l’outil profondément social qu’est la monnaie.